L'utopie du communisme.

Vivre dans une société monnétiste capitaliste est sans avenir à cause de la saturation du système, saturation qui fait qu'on ne peut plus rien faire sans que les dominos d'écroulent tous. (voir partie "le principe injuste des budgets")

Pour autant, faut-il vouloir le communisme ?
Quel communisme ? Celui des soviets ? Celui des Chinois ? Celui de Cuba ? Celui des congrégations religieuses qui sont parfois plus communistes que les dits communistes ?

Etudions les faits et posons la question :
le communisme est-il possible sans dictature ?
L'argumentaire de certains communistes actuels est de dire que "le vrai communisme" n'a jamais existé sur terre. Mais parlent-ils encore de communisme ou sont-ils seulement accrochés à un espoir vain dans un système monétiste ?

Pourquoi le communisme d'URSS a échoué dans le plus vaste et le plus riche (en ressources naturelles) pays du monde ?

La dictature (du prolétariat ou du moins de dirigeants qui savent mieux que les ouviers où se situe leur bonheur) est obligatoire parce qu'ils ne font absolument pas confiance en la démocratie participative totale et réelle. Pour eux, le peuple est "tout" mais il n'est malheureusement pas capable de comprendre comme il faut ce qui est bon pour lui, donc les élections et les choix exprimés par un vote de tous, sont inutiles.
Dans ce système, la monnaie n'est plus gérée de la même manière mais elle a toujours son pouvoir immense.
Comme ce pouvoir immense sur "les autres" existe toujours, rien ne change, il y a "bataille" pour obtenir le pouvoir.
D'où la paranoïa de ses dirigeants.
Pour se maintenir au pouvoir, les dirigeants communistes s'appuyent également sur les pétro-dollars (Hugo Chavez - Vénézuéla) ou sur l'exploitation financière des petites mains du peuple (Chine - Made in PRC - Popular Republic of China)
Voilà pour la partie "démocratie".

Pour la partie économique :
l'analyse des communistes est de dire que nous sommes dans une "société de classes" et l'ennemi, c'est le patron. Quand on vire le patron, tout va mieux.

Dans la réalité, les patrons ne sont pas des dieux, et lorsqu'il n'y a plus de patrons, l'entreprise est soumise aux mêmes problèmes de concurrence et de "pas de place pour tout le monde".
Sans oublier que la société actuelle n'est plus formée de "classes" mais de "clans".
Les "riches" ne sont pas unis et les "revolutionnaires" non plus, chacun formant des clans.

L'ennemi n'est pas "le patron" mais l'utilisation de la monnaie qui nous fait tous nous affronter les uns contre les autres à une échelle plus ou moins violente.


Il faudra un jour prendre conscience
que la monnaie n'est pas un simple outil.
Le vrai visage de la monnaie, c'est ça :

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